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Écogestes 18 min de lecture

Comment Avoir une Consommation Responsable au Quotidien ? Le Guide Ultime

78% des Français se mobilisent pour avoir une consommation responsable, selon les chiffres de l’ADEME en collaboration avec Greenflex. Pour 60%, il est même urgent d’agir pour la préservation de la planète. Dans ce guide, nous répondons aux 68% des personnes qui disent que c’est “fatigant de devoir chercher ce qui est responsable et ce qui ne l’est pas”.

Entreprises, labels, bio, circuit court, économie circulaire, gestion des déchets, bien manger, méthode BISOU, transports jusqu’à l’usage responsable du numérique : on passe tout en revue pour vous aider dans vos envies de mieux consommer.

Qu’est-ce qu’une consommation responsable ?

La consommation responsable est un mode de vie qui prend en compte les aspects sociaux et environnementaux des biens consommés. On peut donc consommer responsable en termes d’alimentation, de voyages, de mode ou d’énergie.

Le revers de la consommation responsable est une tendance accrue de certaines entreprises à faire de l’écoblanchiment – ou “greenwashing” en anglais. Ils communiquent sur des aspects responsables qui sont faux ou mensongers.

L’enjeux de la consommation responsable est d’engager chaque citoyen dans la démarche de la transition énergétique. Selon le dernier baromètre Greenflex-ADEME de la consommation responsable, les enjeux sont divers :

  • l’impact sur l’environnement
  • l’impact sur la santé
  • l’impact pour les générations futures
  • l’impact sur les espèces animales

Une consommation responsable prend plusieurs formes.

  • En termes d’alimentation, ce serait consommer local, selon les saisons, et pourquoi pas bio.
  • En termes d’énergie, ce serait d’investir dans les énergies renouvelables et d’appliquer les éco-gestes à la maison.

En bref, consommer responsable revient à être acteur de sa consommation et à réfléchir aux impacts de ses faits et gestes.

Toujours selon le baromètre de Greenflex-ADEME, 82% des Français tentent d’avoir des habitudes plus vertueuses dans leur consommation, en achetant moins de produits ou en choisissant des produits avec moins d’impact environnemental.

La consommation responsable,
c'est aussi choisir un fournisseur d'énergie engagé

L'électricité et le gaz issus d'énergies renouvelables, au meilleur prix, produits en France. 

Je soutiens l'énergie verte et française avec ilek

Comment avoir une consommation plus responsable ? 10 exemples pratiques

Choisir des entreprises et marques éco-responsables

Un premier pas vers la consommation responsable est de se rapprocher de marques et d’entreprises qui font bouger les choses. “Responsables”, “Green”, “Éthique”, “Fair-trade”, toutes ces appellations peuvent vous aider à trouver des marques qui agissent. Pour autant, ces marques n’ont pas souvent pignon sur rue, et encore moins dans les villes moyennes. Vous pouvez faire votre marché sur internet, notamment sur différents sites qui peuvent servir d’annuaire :

Altermundi

Depuis 2003, Altermundi démocratise le “consommer responsable” pour la mode et l’habitation.

Wedressfair

Wedressfair propose des marques “vraiment” responsables pour habiller femmes, hommes et enfants.

Zerogaspi

Zerogaspi prône le zéro déchet et propose une liste boutiques éco-responsables, dont Blooming, Greenweez ou ZoEssentiels.

En termes d’alimentation, les magasins spécialisés en articles bio fleurissent un peu partout, notamment les magasins Biocoop, La Vie Claire ou encore Etiketbio. Ce sont de bonnes portes d’entrée pour découvrir de nouveaux produits et des marques éco-responsables. Les fournisseurs d’énergie peuvent aussi être des marques éco-responsables. ilek coche toutes les cases : énergie renouvelable, 100% produite en France et engagée pour la transition énergétique. 

Privilégier les labels éthiques et durables

De nombreux labels s’affichent sur les étiquettes des produits que nous consommons. Le plus connu reste le label “A.B.”, pour Agriculture Biologique. D’autres labels font état du soin apporté par la marque à toute la filière de fabrication :

  • GOTS : Global Organic Textil Standards. Ce label certifie qu’un vêtement contient au moins 95% de fibres biologiques. Le label s’intéresse à tout le cycle de production du vêtement, notamment en termes d’usage d’eau et d’énergie, et de ressources humaines, en s’assurant des droits des travailleurs.
  • OEKO-TEX : Ce label certifie que les vêtements ne contiennent aucun produit toxique ni chimique, néfastes pour l’environnement ou pour la santé. Ce label est un indice de confiance largement partagé, notamment pour les textiles bébé.
  • GRS : Ce label assure que les industries du textile utilisent au moins 50% de produits recyclés dans la conception des nouveaux produits.
  • Fairtrade : Un produit certifié Fairtrade assure une compensation juste et digne aux travailleurs. Le label assure également un certain nombre de critères environnementaux.
  • BCorp : Le label BCorp est associé à une entreprise et certifie que celle-ci prend des engagements pour un impact sociétal et environnemental positif.
  • Vertvolt : Ce label français assure que le fournisseur d’énergie est engagé voire très engagé par rapport aux producteurs d’électricité renouvelable.

D’autres mentions peuvent vous aider dans vos choix de consommation responsable : le nutri-score sur les aliments, la mention “Made in France”, les A.O.P., les I.G.P., Label Rouge ou encore les labels régionaux. Attention pour autant : ces labels ne certifient pas une origine bio ou durable des produits que vous achetez !

Focus : qu'est-ce que l’empreinte carbone ?

L’empreinte carbone est une mesure de la quantité totale de gaz à effet de serre (GES) émis directement ou indirectement par une activité humaine ou un produit sur une période donnée. Ces émissions de GES, principalement le dioxyde de carbone (CO2) mais aussi d’autres gaz comme le méthane (CH4) et le protoxyde d’azote (N2O), sont généralement exprimées en équivalent de dioxyde de carbone (éq. CO2).

L’empreinte carbone peut être générée de façon directe ou indirecte :

  • Sources directes : Émissions provenant de sources directement contrôlées par un individu ou une organisation, comme la combustion de carburants fossiles dans les véhicules.
  • Sources indirectes : Émissions résultant de la production de biens et services consommés par un individu ou une organisation, telles que l’électricité utilisée, les produits achetés, et les déplacements en avion.
  • La mesure permettant de calculer l’empreinte carbone prend en compte l’ensemble du cycle de vie des produits, depuis l’extraction des matières premières jusqu’à la fin de vie des produits.
  • Pour les individus, elle inclut les émissions liées à la consommation d’énergie domestique, aux transports, à l’alimentation, et aux autres biens et services.

La réduction de l’empreinte carbone individuelle et collective est essentielle pour lutter contre le changement climatique. Moins d’émissions de GES signifie moins d’impact sur le réchauffement climatique, celui-ci étant induit par une forte concentration de gaz à effet de serre.

Pour réduire son empreinte carbone, il faut commencer par éviter autant que possible de générer des émissions de GES. Cela passe par l’utilisation de sources d’énergie renouvelable, l’amélioration de l’efficacité énergétique, la réduction de la consommation de viande, le choix de moyens de transport plus écologiques, etc. Pour réduire son empreinte carbone, une infinité de gestes du quotidien peut être repensée. 

Réduire son empreinte carbone est essentiel et c’est même le premier pas à accomplir pour contenir le réchauffement climatique. Dans un second temps, il convient de contribuer à l’absorption des émissions de gaz à effet de serre résultant de nos activités industrielles au cours des deux derniers siècles. Car si l’on se contente de réduire, ce ne sera pas suffisant pour inverser la tendance. Il est donc nécessaire de soutenir la création de puits de carbone naturels tels que les forêts ainsi que leur gestion durable. Il est ainsi possible d’agir sur le climat par la préservation des écosystèmes

Consommer bio ou en circuit court

Consommer bio, en France, reste un réflexe des classes plus aisées : dans un sondage pour l’Agence Bio, le principal frein (à 65%) de l’achat du bio est le prix. Et effectivement, les produits bios sont plus chers que leurs équivalents en agriculture conventionnelle. Le label A.B. exige un cahier des charges plus contraignant, qui implique plus de dépenses de la part du producteur.

Les avantages des produits bio

  • Des produits sans colorant, d’arôme chimique, d’exhausteur de goût, d’enrichissement en vitamines ou de minéraux.
  • Des animaux élevés dans des conditions dignes, nourris eux-mêmes par la filière bio et à la santé assurée par des gestes vétérinaires préventifs.
  • Une agriculture garantie sans produit chimique ni OGM, qui privilégie des semences et des techniques qui accompagnent la terre – comme la permaculture.

Le terme “naturel” peut être trompeur et ne fait pas office de label. Un bon exemple : le gaz naturel est une énergie fossile mais reste “naturel” parce qu’il est puisé dans la nature … comme le pétrole ou le charbon. Privilégiez le gaz vert, ou biométhane, pour vous chauffer : ilek est un des trois fournisseurs en France à proposer du gaz 100% vert.

Consommer en circuit court

Selon une étude LSA, 60% des Français auraient consommé des produits en circuit court lors de l’année 2020. Si le circuit court n’est pas forcément “bio”, il définit plutôt une habitude de consommer des produits locaux, directement à la source, soit au marché hebdomadaire, soit chez le producteur.

Consommer en circuit court permet de rémunérer le producteur au prix qu’il fixe, sans intermédiaire. Ces achats en circuit court permettent aussi de privilégier les fruits et légumes de saison, et de mettre un visage sur ceux et celles qui produisent votre nourriture.

Le circuit court ça marche aussi avec l’énergie ! ilek est l’un des rares fournisseurs à acheter son énergie directement aux petits producteurs. Grâce à ça, environ 40% de la facture des clients ilek rémunère ceux qui produisent de l’énergie.

Faire confiance en l’économie circulaire

L’économie circulaire suppose une gestion durable des ressources, sur toute la durée de vie d’un objet. On oppose forcément l’économie circulaire à l’économie du tout jetable, où un produit a une durée limitée dans le temps, et une fin en décharge.

L’économie circulaire suppose un cycle en 4 étapes :

  • L’écoconception d’un produit
  • La consommation responsable
  • L’allongement de la durée de vie de l’objet : réparer, donner, réutiliser
  • Le tri, le recyclage

Un des exemples forts de l’économie circulaire est la “seconde main, notamment sur les vêtements pour combattre la fast fashion, mais également les “repair café” pour donner un second souffle à ses appareils électro-ménagers.

Limiter sa consommation de viande​

Outre les considérations sur le bien-être animal, limiter sa consommation de viande a un impact direct sur la gestion de l’eau. En effet, on considère qu’il faudrait plus de 15 mille litres d’eau pour produire 1 kilo de viande de bœuf – quand on consomme seulement 320 litres pour 1 kilo de légumes. Si on regarde du côté des produits de la mer, on connaît depuis longtemps les conséquences de la surpêche sur le milieu marin. Consommer responsable, c’est s’intéresser aux pratiques d’élevage et de pêche pour rétribuer les bonnes pratiques.

Notre conseil ? Consommez de la viande produite à la maille locale ou régionale, ou concentrez-vous sur les filières d’élevage 100% française. Lisez les étiquettes et consultez les lieux d’élevage, d’abattage, de transformation. Certaines viandes font parfois des milliers de kilomètres avant de ses retrouver dans nos assiettes.

Réduire sa consommation … tout court

L’influence, la publicité, le consumérisme, le capitalisme … Tout un système de société dans lequel nous progressons nous invite à consommer un peu tous les jours. Et souvent, quand on fait le calcul, nous payons pour des objets ou des services dont on aurait pu se passer, et nous achetons de la nourriture qui finira au mieux, au compost, au pire, parmi les déchets non-recyclés. Une méthode qui peut vous aider à vous débarrasser de la compulsion d’achat est la méthode BISOU :

Méthode Bisou - B

À quel Besoin cet achat répond-il ?

Méthode Bisou - I

Avez-vous un besoin Immédiat d’acheter ?

Méthode Bisou - S

Avez-vous des objets Semblables chez vous ?

Méthode Bisou - O

Quelle est l’Origine de ce produit ?

Méthode Bisou - U

L’objet sera-t-il réellement Utile ?

Le petit plus ? Faites comme vos parents ou vos grands-parents : une liste de course ! Et encore mieux, prévoyez vos repas à l’avance, pour ne pas vous retrouver devant les rayons avec aucune idée de ce que vous allez acheter, et donc acheter des aliments “au cas où”. En termes de repas, vous pouvez aussi vous adonner au batch cooking. La collection “2 heures en cuisine” de Hachette vous permet de cuisiner 5 repas en deux heures en utilisant savamment les produits de saison. À la clé : quelques économies de temps et d’argent !

Limiter sa production de déchets

On peut tendre vers l’autoconsommation – au niveau de l’énergie -, on peut aussi tendre vers un mode de vie “zéro déchet”. Ça demande une certaine organisation lors des courses, mais c’est évidemment possible. De plus en plus de magasins proposent des produits en vrac, comme des céréales, des féculents et même de la lessive, que vous pouvez acheter avec vos propres contenants. Des plateformes, comme La Fourche, proposent également des sections anti gaspi. Elle répertorie des produits que les marques s’apprêtaient à jeter, soit à cause d’une DLUO dépassée (alors que le produit est parfaitement consommable), soit à cause d’erreur de packaging ou juste pour purger les stocks avant de passer à de nouvelles gammes.

Le saviez-vous ? Environ 10 millions de tonnes de nourriture consommable sont jetées par an, en France.

Pour les déchets organiques, la loi demande maintenant à ce qu’ils ne soient plus mis dans les sacs poubelles mais bien dans des points de collecte, des poubelles spécifiques ou des composts. Dans les faits, les municipalités ont encore du chemin à parcourir dans la collecte des déchets organiques.

Privilégier des modes de transport propres

Le transport représente 31% des émissions de gaz à effet de serre en France. Dans ce segment, 94% d’énergie est consommée sur la route, dont 54% par les particuliers. La transition vers des modèles plus responsables est déjà actée : la fin de production des véhicules thermiques dans les années 2030, le bonus écologique, l’interdiction des centres villes de grandes métropoles aux véhicules les plus polluants.

La question de la mobilité est centrale dans notre vie de tous les jours. On peut citer le vélo, la marche à pied, la trottinette électrique … Mais il faut habiter à distance raisonnable de centres d’intérêts. Pour les autres, il reste le train ou le bus, mais il faut que le territoire soit correctement desservi. Pour certaines personnes, il est impossible d’investir dans un nouveau véhicule électrique, et impossible de se déplacer autrement qu’en voiture.

L’enjeu d’une consommation responsable en termes de mobilité est donc de s’adapter à sa situation, et de trouver des alternatives au cas par cas. Le covoiturage est une option, le partage de voiture en est une autre.

Le saviez-vous ? Le leasing social, mis en place en janvier 2024, pour permettre aux ménages modestes de louer une voiture électrique à moindre coût, a été victime de son succès : en un mois, ce sont plus de 50000 candidats qui ont déposé un dossier. Le gouvernement tablait sur 25000 … pour l’année. Le système a donc été mis en pause jusqu’en 2025.

Avoir son propre potager

Pour aller encore plus loin que la simple notion de consommer local et de bonne gestion de ses déchets organiques, créer son propre potager est un objectif pour tous ceux qui veulent consommer responsable.

Pour ceux qui n’ont pas de terrain, les jardins partagés et les potagers collectifs fleurissent aux abords des villes – et même si elles ne font pas partie du TOP 10 des villes les plus vertes-, si bien que certains proposent des listes d’attente pour les candidats. Le potager est également un outil de lien social, et de construction de projets autour du vivre ensemble et du mieux consommer.

Mais outre l’aspect “responsable” du potager, c’est avant tout le goût et la fraîcheur des légumes qui priment dans le choix de se mettre à cultiver la terre, selon une enquête de 2022. Le lien social – et souvent familial, pour plus de 70% des interrogés – est également un fer de lance du potager.

Le petit plus ? Si vous n’avez pas la main verte, vous pouvez tout de même contribuer au nouvel élan de la nature autour de vous. Comment ? En favorisant l’installation des espèces d’insectes, petits oiseaux et mammifères indispensables pour l’écosystème. Hôtels à insectes, haies mellifères ou taille tardive : vous serez étonné de la rapidité à laquelle la nature reprend ses droits !

Avoir un usage responsable du numérique

La révolution numérique a largement impacté nos quotidiens :

  • On consomme moins de papier, avec notamment les factures dématérialisées et les relevés bancaires qui ne sont plus envoyés par la poste.
  • On ne se déplace plus inutilement, avec de nombreuses démarches administratives effectuées obligatoirement en ligne – ce qui pose la question de l’adaptabilité de toutes les franges de la population aux outils numériques.
  • On peut télétravailler, et donc désengorger les routes et les transports en commun.

Mais cette révolution n’est pas sans impact sur l’environnement. Les données que nous envoyons et recevons tous les jours, même si elles semblent volatiles – et le mot Cloud y est pour beaucoup – sont tout de même stockées sur des serveurs. Et les serveurs (data centers) consomment énormément d’énergie. Selon les données 2022 de Statista, il y aurait 264 centres de serveurs en France, pour une consommation d’énergie équivalente à 2% de la consommation globale … Ce qui dépasse légèrement la consommation de la SNCF.

Quelques pistes pour consommer le numérique de manière responsable :

  • Gérer sa boite mail : ne pas envoyer de pièces jointes trop lourdes et se désabonner de newsletters qui ne sont jamais ouvertes.
  • Éteindre les appareils la nuit : un ordinateur en mode veille impacte la facture énergétique !
  • Penser aux appareils reconditionnés : dans le numérique aussi on peut faire confiance à la seconde main.

Les questions qu’on se pose sur la consommation responsable

Il y a plusieurs avantages à la consommation responsable : du bien pour son corps, mais également pour la planète. Consommer responsable veut également dire se questionner sur ses habitudes de consommation et tenter de nouvelles expériences, ce qui peut parfois ressembler à un inconvénient.

  • Yuka – qui permet, en un scan de code barres, d’identifier les produits vertueux.
  • Too Good to Go qui permet de récupérer auprès des commerces de proximité des invendus encore bons pour la consommation.
  • Ecosia – moteur de recherche, comme Google, qui compense les recherches par des plantations d’arbres.
  • Geev – qui permet de donner des objets entre particuliers, pour performer l’économie circulaire.
  • BlablaCar – qui permet de proposer / de prendre part à des covoiturages partout en France – et en Europe.
  • Moovance – qui permet de maîtriser et de réduire l’empreinte carbone de ses trajets.

Pour avoir une maison éco-responsable, il faut avoir un impact sur tous les postes de consommation :

  • Respecter les éco-gestes pour la consommation d’énergie
  • Réfléchir à l’usage de l’eau au quotidien
  • Consommer local, de préférence en circuit court
  • Prioriser les achats sans emballage
  • Penser économie circulaire, seconde main, reconditionné, troc
  • Optimiser sa gestion des déchets